Les chiffres de la santé publique sont sans appel : près de 4 millions de personnes sont touchées par l’asthme en France. Cette maladie chronique des bronches, d’où découle parfois des crises et des épisodes de gêne respiratoire, peut engendrer plus de 60 000 séjours hospitaliers chaque année. Si 15% à 20% des asthmes de l’adulte sont d’origine professionnelle, les premières manifestations surviennent le plus souvent chez l’enfant. La médecine chinoise prodigue des traitements assidus.
L’asthme et la médecine occidentale
L’asthme est une maladie qui se caractérise par une inflammation plus ou moins importante des voies respiratoires. Si elle touche principalement les enfants dans un premier temps, elle peut avoir diverses causes : des facteurs génétiques ou des facteurs environnementaux. Le diagnostic repose sur un interrogatoire avec le patient pour déterminer s’il s’agit bien d’asthme. Cette maladie peut altérer le mode de vie et même provoquer des absences à l’école ou au travail. Elle persiste toute la vie avec des phases de crises ou de rémission.
Un traitement spécifique comportant un bronchodilatateur est souvent approprié. Pour les cas les plus difficiles, un traitement anti-inflammatoire permettra de limiter les crises. Cela permettra ainsi le maintien d’une fonction respiratoire normale. Il sera impérativement recommandé d’éviter les facteurs déclenchants comme le tabac ou trop de contact avec les acariens.
L’asthme vue par la médecine chinoise
Dans un premier temps, il faudra s’assurer qu’il s’agit bien d’un problème d’asthme. Tout comme en médecine occidentale, la médecine chinoise s’intéresse à l’équilibre complet du système pour déterminer la cause des maux en question. Dans l’identification de la source du problème de santé, il faudra bien sûr s’attarder sur la santé des poumons mais aussi sur les organes qui participent indirectement au processus respiratoire, c’est-à-dire le foie et la rate.
L’asthme n’est pas une maladie évidente à traiter de par son caractère chronique. La médecine traditionnelle chinoise a néanmoins pu élaborer des traitements efficaces contre les crises d’asthme mais aussi atténuer les crises ultérieures et réduire considérablement leur fréquence. Ainsi la médecine chinoise offre un outil de congestion et de contrôle performant dans les cas d’asthme chronique par le biais de l’acupuncture mais aussi des herbes chinoises pour libérer le mucus et libérer les bronches.
Si l’asthme oscille entre crises et périodes de rémission, c’est justement durant cette dernière que la MTC tient à intervenir. En effet, cette phase correspond à une reconstitution du corps grâce à laquelle on améliore l’état général de la personne asthmatique. Cela lui permet alors de mieux gérer les crises futures. Certaines études mettent en avant l’efficacité de l’acupuncture pour soulager les asthmatiques. Une théorie qui n’est pas validée par tous. Pourtant, dans une étude réalisée en 2015, une amélioration de la façon de respirer a pu être constatée à la suite de séances d’acupuncture. Les résultats ont démontré une amélioration de la fonction immunitaire et de la fonction de ventilation pulmonaire. L’acupuncture permettrait donc d’améliorer les symptômes de l’asthme bronchique chronique.
Un complément recommandé par la médecine chinoise ?
Pour faciliter la fonction énergétique du poumon, le complément Ding Chuan Pian procurera une influence apaisante sur les voies respiratoires. Il accompagnera l’équilibre énergétique du poumon. N’hésitez pas à vous en procurer pour vous soulager au quotidien.
Le conseil de Bertrand BIMONT
Nous avons deux énergies acquises permettant de vivre. Au quotidien la respiration est l’une d’entre elles, bien respirer c’est bien vivre.
Bonjour,
Lorsque vous écrivez :
« Pourtant, dans une étude réalisée en 2015, une amélioration de la façon de respirer a pu être constatée à la suite de séances d’acupuncture. Les résultats ont démontré une amélioration de la fonction immunitaire et de la fonction de ventilation pulmonaire. L’acupuncture permettrait donc d’améliorer les symptômes de l’asthme bronchique chronique. »
vers la fin de votre article, de quelle étude parlez vous ? Serait-il possible d’avoir la source afin de me renseigner plus en détail ?
En vous remerciant par avance,
Respectueusement,